vendredi 17 décembre 2010

zombie, mon amour

Pour faire passer le temps, une réflexion autour des intrigues romantiques mise en parrallèle avec les films de zombies. Très juste et très bien.

Image tirée de l'excellentissime site les céréales du dimanche matin



dimanche 12 décembre 2010

les ordis, c'est moches.

Mon bien-aimé ordi portable fait des siennes. Sa première grande résolution a été de se transformer en ordi à fil, fini la grande liberté de mouvements que permettait cette sympathique petite batterie au lithium, désormais, coller contre la prise, tu resteras. Une réparation s'impose et c'est la totalité du barda qui devra partir. Mais que vais-je faire sans ordi?! Sans internet?! Sans lecteur de DVD?! Sans calculatrice intégré?! Sans fond d'écran interactif?! Sans facebook?! Sans tout le toin-toin nécessaire au bon épanouissement d'un vingtenaire comme moi?
Alors, avant de risquer d'avoir ma réponse et de connaître mon vide affectif, je reste contre la prise et puis c'est tout.
ceci représente un jeune, néanmoins suffisamment geek pour pleurer lorsque Darty lui enlève son mac pour la révision. C'est tout à fait l'image que je me fait, sans la chemise à carreaux, qui est vraiment laide.
La réalité est un peu différente, le geek, en plus d'être doter d'un visage repoussant, est gros. C'est un fait et c'est un rapport sur la santé qui dit qu'il y a une corrélation directe entre l'obésité et le temps passer devant un écran.
Cette étude révèle aussi que les hommes avouent plus facilement passer du temps devant l'ordi, donnant une image fortement négative de no-life, alors que ces dames tentent encore de sauver les apparences.
L'info capitale que l'on peut retenir et assener à ses parents pour ne pas faire ces devoirs, c'est que plus on fait d'études et plus on a de chance de passer du temps sur l'ordi ....
Sur ce, je retourne chatter...

lundi 6 décembre 2010

grande littérature cannibale

alors voila, étant une mangeuse fort friande de littérature de zombies, morts-vivants, cadavres ambulants, humains contaminés et affamés ainsi que d'autres joyeusetés du même acabit, j'ai décidé de parler un peu des livres traitant de ce sujet, de donner mon avis, un petit résumé, etc.
J'ai un peu chercher sur le net, en me disant "internet est magique, je vais bien finir par tomber sur un site entièrement consacré au sujet avec une bibliographie béton et j'aurai de quoi lire jusqu'à l'indigestion et ce jour-là, ce sera cool et je serai contente".
Et bien non. Je n'ai pas trouver de site comme ça. Je ne vous cache pas ma déception devant un tel vide culturel. Par contre, pour les films, pas de problème, une trentaines de sites me répertorient tout ça, ce qui est plutôt stupide car à contrario des livres, les films ont des titres qui vendent du rêve: les morts-vivants, le retours des morts-vivants, zombie, le mangeur de chairs fraîches,...


je commence donc par vous parler du dernier livre que j'ai lu; World War Z de Max brooks. L'ayant acheter et lu depuis peu, ma jeune cervelle est encore assez valide pour me resservir quelques bouts encore en mémoire.
Tout d'abord, une petite biographie de Max brooks, le brave homme, tout ceci à la sauce wikipédia, parce qu'il le vaut bien: né le 22 Mai 1972 à New York, c'est donc un citoyen américain, marié à une femme scénariste avec qui il a réussi à avoir un fils qui se prénomme Henry (mais est-ce vraiment utile de savoir tout cela?). On pourra rajouter pour ceux qui sont vraiment très curieux qu'il est le fils de l'acteur Mel Brooks et de l'actrice Anne Bancroft.
Il est l'auteur du très utile Guide de survie en territoire zombie, publié en 2003 aux Etats Unis et en février 2009 en France, (pourquoi sommes nous tant à la bourre?) donc je vous parlerai très prochainement. Son livre suivant est donc World War Z, une histoire orale de la Guerre des Zombies. Publier en décembre 2006 aux États Unis, février 2009 en France. Il a aussi écrit la préface du comics Raise the Dead, que je n'ai pas encore eu la joie de feuilleter pour le moment.

Pour l'histoire, c'est un compte-rendu de l'effondrement du monde des vivants face à l'apparition et la propagions du virus rendant les morts aussi vifs de la mâchoires. On se ballade un peu partout, de Chine, en Inde, beaucoup en Amérique (quand même!) et l'on suit différentes histoires de personnes, des témoignages de leur part, à propos d'un moment précis dans cette bataille. C'est très politique, on est loin du schéma de l'attaque de zombies, avec un héros que l'on suit du début à la fin. Peu de récit de carotides tranchées, beaucoup plus de mouvements militaire, économique, politique, on en finit par se perdre un peu avec des récits de soldats endurcies racontant les performances de leur armement, de statistiques, de psychologie zombiesque. Mais la grande chose que j'ai regretter, c'est que ce livre qui veut relater une histoire mondiale, et bin, ça tourne vachement autour des USA! Oncle Sam, il a le droit à un portrait un peu plus intimiste de ces chers citoyens que d'autres  pays.... Mais bon, ça fonctionne plutôt bien, j'ai bien aimer lire ce livre même si je n'en garde pas un souvenir grandiose...


voili, voilou, c'est tout pour aujourd'hui. Peut être vais-je changer un peu la présentation pour les prochains livres, leur donner un système de notation avec des petits cerveaux (proposition en cours de réflexion), y allier des images de massacres et de découvertes culinaire, bref, je me cherche...

mercredi 1 décembre 2010

plutôt mort que vif!

il y a longtemps que l'on ne m'avait point vu et je m'en excuse bien bas. Pour faire patienter encore un chouya, un petit article vite fait sur un livre pour enfants vraiment adorable, mignon tout plein, bisou-bisou et qui nous permet de plus de nous exercer à l'anglais.





Pour en voir un peu plus, voici: http://www.nomorefriends.net/

je revient bientôt promis avec un spécial zombies, morts-vivants et autres bestioles gluantes et dégoûtantes, promis!


mardi 16 novembre 2010

v'la un bon cru!


En me baladant comme ça, innocemment dans la vaste ville, je suis tombé nez-à-nez (et c'est bien peu de le dire) sur la devanture de l'abri-bus qui abritait justement la dernière campagne de publicité Chupa Chups avec comme vedette: la mini chupa! Personnellement, je n'en ai jamais rencontrer dans ma courte vie de grignotage, mais je trouve cela un tirer par les orteils: pour la petite histoire, il paraîtrait (mais qui propage ces légendes urbaines?) que les enfants ne parvenaient pas à finir leurs sucettes de taille standard... No problemo! Chupa chups, bien décidé à reconquérir son électorat de bouches baveuses prochainement bardées de caries, met au point la mini, à l'intention des enfants et des parents! Et oui, plus petit veut dire moins de sucre donc moins de calories! Mouais, c'est bien connus, la cure de régime à base de minis chupa chups a fait le tour du monde encensée par les meilleurs spas et diététiens. Et puis elles sont tellement petites que tu peux même en reprendre une deuxième sans appréhention! Si les bonbons de taille mini sont aussi un risque pour le poids, ou va-t-on!?


L'agence DDB a donc mis à contribution la poupée Barbie Sindy (une cousine éloignée) pour les filles et Action Man pour les garçons afin de faire passer un message bio et bien. Le message est salace, pas sur que les enfants se sentent concernés, les adultes par contre, beaucoup.

DDB, le site web avec tout ce qui a déjà été fait: http://www.ddb.fr/

mardi 9 novembre 2010

français tu es, emmerdeur tu resteras.

Pour Utopolis, "group of cinemas", une fantastique campagne de pub très réaliste, ou enfin il n'y a pas de cruche à gros seins, air stupide gravé sur un visage basique et européen, mise en plis aérée et immobile au dessus d'un crâne vise, phrase accrocheuse balancée entre des dents blanches "oh mon dieu, quelle blancheur!" devant une pile de linge savamment pliée,  avec deux marmots blonds, riants et souriants, digne progéniture du mari de Barbie, assis à l'arrière plan, son journal entre les mains, le cours de la bourse sur la costume et la lubricité peint sur la tronche.

Et bien non mesdames! La lessive xxx ne lavera pas votre immonde gamin plus blanc, les toilettes ne fleureront pas bon les herbes de provence, les yaourts yyy ne vous purifierons pas de l'intérieur, le dieu publicité vous ment! Tu finiras vieille et moche, ridée et seule, courbaturée et ménopausée, suante et puante, et tout cela malgré dove, danone, meetic, speedy, vanish, orange, chanel, point vert, canal+, charald, oasis, harrys, georges clooney, coca-cola, mars, evian, neespresso,  timotei, h&m, nana, casto et tant d'autres tellement attrayants! Vous êtes périssables!!! hahahahahahahahahahahahaha!


samedi 6 novembre 2010

tous à vos claquettes!

La déco kitsch et fleurie a fait son grand retour voila déjà quelques mois. Cela a commencer par quelques fleurs au rayon femme de h&m et petit à petit, tel le virus de la grippe, cela s'est propagé. Peut être est-ce la conséquence Valérie Damidot, à trop de marouflette, trop de lésions cérébrale sur la basse populace et tout cela se répercute sur les ventes trimestrielles de castorama. Et nous voila avec des magasins qui nous ramènent dans le salon de nos grands-mères. Les petits gâteaux se parent d'une rangée de dentelle pour faire apelle aux souvenirs des quinquagénaires nostalgiques. Des bougies en forme de bouledogues français côtoient des plaids en dentelles et en fourrure rose.
D'ailleurs, une fois que l'on a plongé la tête dans ce flot de papiers peints, on se rend compte qu'il y a plusieurs mouvances: le style anglais, la mode vintage, la vogue pastel, l'esthétique campagnard, la touche norvégienne, la griffe classique et... bien d'autres.
avouez, quand même, ça repose les yeux et ça respire le bien être.
Tout ça pour dire... que je me suis lasser de mes vulgaires murs blancs, sans aucunes couches de papier pour les égayer alors je les ait couvert de choses, diverses et hétéroclites (casseroles, tissus, affiches, ramures, bouchons,etc) et aujourd'hui, une cruelle vérité m'apparaît: à vivre dans un surplus d'images, c'est inhumain. Pire qu'un shoot à l'eau de mer dans les sinus. Un mal de tête vibrant s'est emparé de moi dès le pas de porte, une désagréable impression d'enfermement ainsi qu'une phobie du désordre ont fait leurs apparitions. Il me fallait agir et prendre une décision, ratiboiser mes murs et réfléchir à ma déco avec sérieux. Je peux maintenant en témoigner, le papier peint fait-maison n'est pas une bonne idée, ni même un projet viable à long terme. Les prochaines choses qui auront lieu de citer sur mes murs, ce sera un vrai papier peint à fleurs d'inspiration victorienne, et rien d'autres. Je m'en fait la promesse.

le papier peint, ça inspire dans le bon-sens. Une remarquable vidéo comme youtube sait les héberger.